Iron Maiden : la Vierge de fer et l'album Powerslave

Un des seuls survivants honorables de la nouvelle vague de heavy-metal des années 80, Iron Maiden est toujours en activité. Avec seize albums au compteur depuis 1980, Iron Maiden continue à jouer son hard-rock épique, histoires de dragons et de chevalerie jusque d’ailleurs dans l’espace (The Final Frontier (2010)). Bien entendu les choses ne sont pas arrivées toutes seules et une telle longévité se mérite.

Iron Maiden a traversé quelques tempêtes qui ont bien failli avoir raison du quintet (sextet aujourd’hui). Avec Paul Di’Anno au chant, les anglais fourbissent deux armes redoutables qui vont les installer sur les platines des fans : Iron Maiden en 1980 puis Killers en 1981 vont permettre au groupe de faire ses premier pas. Puis c’est Bruce Dickinson qui prend la relève derrière le micro-chant sur The Number of the Beast (1982) et Iron Maiden est perçu dès lors comme le chef du file du courant.

Jusqu’à Powerslave en 1984, Iron Maiden ne commet aucune erreur, aucun faux pas. Il couronne même de cette époque un fabuleux live resté comme leur meilleur, capable de refléter la belle énergie que le groupe sait toujours déployée sur scène. Avec Live After Death en 1985, Iron Maiden boucle un second cycle.

Commence alors un troisième cycle où le clavier commence à faire son apparition. Somewhere in Time en 1986 laissera sur le côté de la route la frange dure d’Iron Maiden

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