Prévoir, assurer son avenir financier et celui de ses proches passe par des investissements dont certains peuvent paraitre obscures pour des novices.
SICAV obligataires ? SICAV actions ? Quels risques pour les investisseurs ? L’investisseur est-il gagnant à tous les coups ? Tentons de répondre à ces questions et rendre ce mode d’investissement plus clair.
Les SICAV, ou Sociétés d’Investissement à Capital Variable appartiennent aux OPCVM, soit organismes de placement collectif en valeurs mobilières.
Plus simplement, des investisseurs quels qu’ils soient achètent une partie de la SICAV via un placement. Le gestionnaire de SICAV se charge de placer ces fonds dans divers produits.
Pourquoi passer par un gestionnaire et donc un intermédiaire ? Car ce gestionnaire est un expert et connais les ficelles du métier, ce qui n’est pas nécessairement le cas des investisseurs.
De plus, créer une SICAV n’est pas à la portée de tous : un minimum de 8M€ est nécessaire. C’est pourquoi les SICAV sont généralement créées par des banques ou autres organismes financiers.
Il existe différents types de SICAV, chacun correspond à des attentes et des besoins différents des investisseurs. Exemple : Les SICAV obligations qui permettent de miser sur la sécurité ou la spéculation, selon les obligations choisies. En outre, il existe des SICAV de toutes sortes, avec des objectifs de rendements et des risques bien différents. Il revient donc à l’investisseur de se poser la question de ce qu’il souhaite : prendre des risques qui peuvent rapporter gros ou réaliser un placement sûr et sur la durée.
Voici le type d’informations qu’il peut être intéressant de savoir lire avant de choisir son investissement : SICAV Agipi
Ces informations permettent en effet de jauger les risques pris, les opportunités, etc.
Et si cela vous semble toujours obscur, sachez que choisir sa SICAV peut se faire avec l’aide d’un conseiller financier, de son banquier, ou seul.